Eternel & Ephemere | Part III
A propos de Parachutes Dorés et de Poudre d'Anges.
Que l'on fasse justice.
Est-ce les affameurs que l'on condamne
les bourreaux qu'on envoit au bagne ?
Ce n'est pas le coupable sur l'échafaud
Que je vois.
Que je vois !
De ces yeux qui se révulsent
Des ulcers se convulsent
Des poings se hérissent
Dans des piquets de grève.
Que l'on fasse justice.
Que l'on ait foi en l'homme
Car la révolte gronde.
Votre délation. Manipulation.
Que l'on fasse justice !
Et ces voitures qui brûlent, et les sirènes s'allument
Et tournent, et tourne le feu de malheur
Qu'il envelisse vos bouches en coeur
Vos ronds de jambes en boîtes carrées.
O les tyrans de pacotilles
Les Alexandres et leurs sbires
C'était le mois du muguet
C'était le mois du muguet
Ils ont le ventre creux
Les effarés
Mais leurs cris
Sont leurs dernières peurs
Mais ils dénouent leurs
Ultimes bonheurs.
O les crasseux ne bradent pas leurs idéaux
En choeur ils en appellent
A la justice.
A la justice.
A la justice.
Citons un disciple de Platon, Eugene Hütz :
How do you want me to live with it?
Without ringing all alarms!
Without overthrowing czars!
Without emptying the bars!
Without screwing with your charts!
I'm gathering new generation
That's gonna stand up to it
To this karaoke dictatorship
Where posers and models with guitars
Boogie to the shit for beats
I make a better rock revolution
Alone with my dick!