16 juillet 2007
Le Même Départ
Johnny a tort
Les portes sont ouvertes
Les portes sont bleues
Elles appellent au calme
Mais en vain
La femme au coton noir
Est décidée à leur gâcher la mort !
Les ports du monde
Eclatent en position d’amour
Les vitres cassées appellent la mer
Les vitres de lumière !
Je me vends, Johnny écoute
La chanson reprend, je doute
Qu’on soit nés près du téléphone
Connexions qui rugissent et mots aphones
J’aperçois au loin la fin
Elle où il a des jambes cassées
Comme des mots sur un cauchemar
Avec au bout de chaque main
Des attaches à laisser glisser
Nos yeux chassent nos histoires
Vieux con qui dort dans son trophée de chasse
Petite mandarine qui s’agite à en péter une durite !
Dans les bas dans les soirs les cartons bien branchés
Johnny le monde libre
Rime dans le noir
Fini les pagodes
Et adieu belle histoire
Vous vous contenterez du reste
Mes chéries que j’ai abandonnées
Sur une fête de trois folies
Oh vous êtes…
On vous a laissées !
Soixante consommateurs
Décident de mentir à la fée
Ils n’iront plus danser !
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